pour masquer ses échecs et ses ambigüités ........

Le gouvernement veut diaboliser Jean-François Copé pour masquer ses échecs et ses ambigüités

Najat Vallaud-Belkacem, Ministre de l'exégèse des couacs à répétition, Michel Sapin, Ministre de la non-inversion de la courbe du chômage, Vincent Peillon, Ministre de l'échec scolaire et Aurélie Filipetti, Ministre de la mort du bénévolat dans les spectacles vivants, ont montré ce matin que s'ils sont incapables d'obtenir des résultats au service des Français ils peuvent au moins ânonner des éléments de langage insultants à l'égard de Jean-François Copé. C'est déjà cela : à l'école primaire, l'apprentissage commence toujours par la répétition.

Mais quand le gouvernement n'a que l'invective, la diabolisation, et le procès en fascisme en réponse à des questions légitimes soulevées par Jean-François Copé, c'est qu'il est « à poil » sur le fond.

Qui instrumentalise les enfants si ce n'est ce gouvernement qui veut leur imposer dès le primaire des enseignements sur le genre alors que la priorité doit aller à la transmission des savoirs fondamentaux et non à l'idéologie ?

Qui a déclaré, le 8 mars 2012: « Nous devons faire qu'il y ait très tôt dans l'école des informations sur le genre et la sexualité » ? François Hollande.

Qui a déclaré que l'école a pour but d'« arracher l'élève à tous les déterminismes, familial, ethniques, social, intellectuel » (JDD, 2 Septembre 2012), et écrit aux recteurs que : « Le gouvernement s'est engagé à s'appuyer sur la jeunesse pour changer les mentalités. » (4 janvier 2013) ? Vincent Peillon.

Qui a déclaré le 28 février 2013, lors d'une discussion à la commission des affaires culturelles et de l'éducation: « Il s'agit de substituer à des catégories telles que le sexe ou la différence sexuelle, qui renvoient à la biologie, le concept de genre, qui montre que les différences entre les hommes et les femmes ne sont pas fondées sur la nature, mais sont historiquement construites et socialement reproduites » ? Julie Sommaruga députée PS des Hauts-de-Seine.

Qui a déclaré dans un discours du 1er février 2014, lors du rassemblement des secrétaires de section socialiste à la Mutualité : « Oui le genre ça existe et oui nous allons l'enseigner dans les écoles et c'est tant mieux parce que ça veut dire plus d'égalité » ? Laura Slimani, Présidente du MJS.

Qui a reconnu que le livre « Tous à poil » faisait partie des ABCD de l'égalité ? Vincent Peillon lui-même au Lab d'Europe 1 ce lundi 10 février.

Stop à l'intox continuelle ! Jean-François Copé a soulevé des questions que se posent des milliers de parents d'élèves inquiets de l'ambigüité de ce gouvernement qui avance masqué sur la question du genre à l'école. C'est ce gouvernement, à force de jouer aux apprentis sorciers, qui instaure une défiance dramatique à l'égard de l'Ecole de la République.

Plutôt que d'avoir l'injure aux lèvres, les ministres feraient mieux de rassurer les Français en renonçant, une bonne fois pour toutes, à introduire le genre à l'école !

Bruno Beschizza
Secrétaire national de l'UMP

Comments

[dom]

Entièrement d'accord !!!

[trublion]

accuser les autres pour cacher son incompétence est une tactique éculée, qui se retournera contre tous ces faux jetons menteurs de socialistes.

Ils en sont à nier leurs propres affirmations sur la théorie du genre