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Union pour l'Arleusis

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3 mars 2014

Le tripatouillage des cartes départementales

Eric Doligé – Le tripatouillage des cartes départementales

par Groupe UMP du Sénat - Eric Doligé

tripatoiullages departement

Le tripatouillage au sujet des cartes départementales est de plus en plus évident.

Le pouvoir n’a plus aucun complexe.

Le Premier Ministre, ceux de l’Intérieur et des Affaires étrangères viennent de signer un décret du 6 février 2014 portant sur diverses mesures d’ordre électoral.

A l’article 8, l’on découvre que le recensement pris en compte pour calculer la taille des cantons sera celui authentifié en 2012.

La règle a pourtant toujours été de prendre en compte le dernier recensement connu.

Pour des élections prévues seulement en mars 2015, c’est le recensement de janvier 2014 qui devait servir de référence.

Pour les municipales de mars 2014, c’est le recensement de janvier 2014 qui a été retenu posant des problèmes importants à 3 mois des élections.

Le Gouvernement choisit donc simultanément un recensement datant de 3 ans pour les cantonales et de 3 mois pour les municipales.

Cherchez l’erreur !!

C’est de la manipulation politique

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2 mars 2014

Les « beaufs mode » sont devenus démodés

 

Les « beaufs mode » sont devenus démodés

WILLIAM GOLDNADEL (CONSEIL REPRESENTATIF DES INSTITUTIONS JUIVES DE FRANCE), INTERVIEW

Le beauf imaginaire, dans la littérature gauchisante ou cabusienne, est ordinairement gratifié d’une moustache, d’un béret et d’un litron. Dans la réalité, j’aurais tendance à le peindre aujourd’hui en jean et baskets Adidas. Quant aux moustaches, je l’affublerais volontiers des baccantes de José Bové. Entendu longuement celui-ci cette semaine sur les radios d’un service que l’on dit public : les OGM et le gaz de schiste c’est poison interdit. Un point c’est tout. Pas de discussion. Pas de recherches scientifiques contradictoires. Ça tombait bien, personne ne le contredisait. Si la définition du beauf est le bas goût pour la péroraison au café du commerce de la politique, au besoin en poussant une gueulante, alors ma caricature ressemble à son portrait.

Ces députés Vert -alliés aux socialistes- qui prétendaient moraliser la politique, sont devenus les plus politicards des politiciens roublards. Nos marabouts néo poujadistes ne dédaignent pas le bout de ficelle. Ils hurlent contre un ectoplasmique lobby du nucléaire mais incarnent objectivement le lobby le plus efficace pour le maintien de l’emprise pétrolière.

Il m’étonnerait que les fossoyeurs arriérés de l’écologisme réel trompent encore longtemps un monde qui ouvre les yeux. Voilà les beaufs mode devenus démodés.

Parlons franc, cette semaine, je trouvais l’actualité française un peu creuse. Pas de bonnes grosses bourdes, boursouflures ou autres impostures, à se mettre sous une dent mauvaise. Les socialistes étaient en vacances…
Heureusement, les intermittents du spectacle n’ont pas chômé. Outrés par le fait que le Medef ne soit pas convaincu que leur régime chômage soit d’une grande justesse, les voilà qui, cornaqués par la CGT-spectacle, ont envahi les locaux de l’organisation patronale d’Île-de-France. Ces chantres de la libre culture ont cru devoir retenir démocratiquement mais contre son gré le délégué général Jérôme Dubus. Celui-ci a eu le front quasi national de refuser la publication sous la contrainte d’un communiqué du Medef désavouant les chiffres publiés sur le régime des intermittents. Mais il y a plus farce encore : la publication d’une pétition à l’initiative de l’ancien ministre communiste Jack Ralite demandant à François Hollande « de maintenir et de développer la politique culturelle » autrement dit, de conserver le régime ruineux pour privilégiés dénoncé par la Cour des Comptes. Ce serait, selon ses généreux et intelligents signataires, (Robert Guédiguian, Agnès Jaoui, Olivier Py…)« Le meilleur antidote à tous les racisme, antisémitisme, communautarisme et autres pensées régressives sur l’homme » (Le Monde 21 février). Rien de moins. Les intermittents du spectacle, la CGT et leurs soutiens étaient des résistants à temps plein et je ne le savais pas. C’est beau la culture.

Dans un ordre d’idées résistantes et antiracistes assez voisin, retour sur les récentes prestations télévisées de Bedos le jeune. La première pour régler son compte d’assez belle manière à M. M’Bala M’Bala, la suivante, grimé vaguement en juif orthodoxe, pour régler le leur à tous les autres, à commencer par le petit landerneau judaïque, fana de sa première performance.

Pour le dire franchement, je ne suis emballé ni par l’une, ni par l’autre. Tirer sur une ambulance même frappée de la Croix-Rouge gammée, ne me paraît pas, au stade de coma moral dépassé de son conducteur, constitutif d’un acte de rébellion héroïque exceptionnel. S’agissant de la seconde, dans laquelle le mot « goy » (qui n’a, il est vrai rien de péjoratif) est utilisé sans complexe, je dirais, qu’en ce qui me concerne, le judéo-centrisme goy obsessionnel, même à prétention antiraciste, largement utilisé par la gauche philosémite, forcément philosémite, me pompe l’air. Suis-je assez clair ?

Et pour rester chez les humoristes, lue, dans Paris-Match, cette phrase si juste du célèbre et talentueux Inconnu Didier Bourdon : « trois comiques qui ne crachent pas à la figure des gens, par les temps qui courent, c’est appréciable ». Je reconnais, toute honte bue, regretter un Fernand Raynaud, qui ne crachait non plus sur qui que ce soit, n’avait pas honte d’être gentil, et n’avait pas l’obsession de la différence. Les Inconnus sont les fils de personnes, Fernand Raynaud n’est pas le fils de Paul. Nicolas, ne lui déplaise, est bien le fils de Guy. C’est de l’humour.

Le Monde de cette semaine s’indigne dans un éditorial du 14 février de « l’atroce indifférence » de l’opinion publique à propos de la Syrie. Le quotidien du soir ne sait peut-être pas à quel point il a raison. Depuis que la tuerie a commencé, depuis que plus de 140 000 personnes humaines ont été massacrées, depuis que deux millions de Syriens ont pris le chemin de l’exil, les associations autoproclamées pour défendre les droits des hommes, les prétendus défenseurs de la cause arabe coiffés de leurs keffiehs, les belles âmes au cœur pur qui ne dédaignaient pas user leurs escarpins sur le pavé parisien pour bien moins que cela, n’auront pas organisé une seule manifestation pour dire leur écœurement. Ah si seulement, c’étaient des Américains, des Français, des Israéliens, bref des occidentaux, des blancs quoi, les salauds à maudire, vous auriez vu les godillots de Gaillot et Besancenot. C’est à vous dégoûter d’avoir des principes intangibles.

Si je ne le dis pas, alors qui va le dire ?

Et pour demeurer sur la même thématique proche-orientale, Arte se sera encore distinguée cette semaine.
Alors que la presse française aura salué quasi-unanimement le film « Bethléem » co-réalisé par un israélien et un palestinien pour traiter de la complexité du conflit à travers les relations entre un agent du Shin Bet et son informateur, la télévision de service public, samedi soir, aura trouvé au hasard deux militants pour dénoncer le caractère trop pro-Israélien du film.

En ce qui me concerne, je rappelle n’être astreint à aucune obligation de neutralité et de responsabilité qui m’interdirait l’engagement partisan. Je ne suis pas non plus appointé par le service public allemand ou français.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Gilles-William Goldnadel. Publié avec l’aimable autorisation de Valeurs actuelles.

 

1 mars 2014

hômage : le naufrage de François Hollande..........

Chômage : le naufrage de François Hollande est une tragédie pour la France

L'explosion du chômage est, hélas, une triste réalité : depuis 21 mois le nombre de demandeurs d'emploi n'a cessé d'augmenter en France, contrairement à la plupart de nos partenaires européens.

Cette singularité française est la démonstration de l'échec de la politique fiscale et économique du gouvernement socialiste.

Le choc fiscal subi par les entreprises et les ménages a cassé les moteurs de la croissance, en pesant à la fois sur l'investissement et sur la consommation.

La multiplication des « contrats aidés » est une impasse qui consiste à acheter de faux emplois par de vrais déficits publics.

Il y a urgence à changer de cap en libérant les initiatives des entreprises qui, seules, peuvent créer des emplois.

par  Guillaume Larrivé
Député de l'Yonne

Chômage : le monde repart, la France reste à quai

Les chiffres du chômage de ce mois-ci ne font que confirmer une tendance lourde et durable : la situation de l'emploi reste très mauvaise dans notre pays, et François Hollande, pétri d’optimisme pour ne pas dire de naïveté, mène les Français droit dans le mur.

Celui qui nous promettait l’inversion de la courbe du chômage doit désormais se rendre à l’évidence : sa boîte à outils est parfaitement inefficace.

Personne, surtout pas Monsieur Sapin qui ne "s'attend à rien", et encore moins les entreprises, poumons de l'emploi, ne voient en François Hollande l’homme capable de redresser le pays.

Personne, et surtout pas l’Europe, ne croit désormais aux promesses. La Commission Européenne remet même ouvertement en cause les prévisions de Bercy, et prévoit un déficit public de la France de près de 4% pour 2015. Une évidence – il n’y a qu’à comparer le coût de l’assurance chômage avec celle de nos pays voisins ! - que Monsieur Moscovici ne veut toujours pas reconnaître.

Et surtout, le monde nous regarde : pendant que la croissance repart partout ailleurs, la France reste à quai, incapable de mettre en place les moyens permettant de faire repartir son économie. Le temps perdu depuis deux ans ne sera pas rattrapé, la spirale du déclin est amorcée ; sauf à changer complètement de politique économique.

Or, il ne semble pas que cela soit le choix de François Hollande et de son Gouvernement.

Voilà bientôt deux ans que le Président de la République fait de l’emploi et du retour de la croissance son cheval de bataille et deux ans que nous constatons son échec cuisant. Il est pourtant l’heure de changer de méthode, de mettre un vrai coup d'arrêt à la pression fiscale et à l'avalanche des charges qui pèsent sur l'emploi.

La baisse du coût du travail est un impératif, François Hollande l’a enfin compris. Il reste désormais à passer l’étape 2 : écouter les recommandations de ceux qui investissent, prennent des risques, créent de la richesse et contribuent au premier chef au retour de la croissance, les chefs d’entreprises. Réponse vendredi.

par Jérôme Dubus
Conseiller de Paris

28 février 2014

Dissolution des groupes violents d’extrême gauche

Yannick Moreau – Dissolution des groupes violents d’extrême gauche

par Yannick Moreau

QAG-25-02-2014-rues-de-Nantes

 

Yannick Moreau veut connaître la réponse du gouvernement sur la dissolution des groupes d’extrême gauche violents, dits « antifascistes »

Durant la séance des questions au gouvernement de mardi à l’Assemblée nationale, Yannick MOREAU a interpelé le Premier ministre.

Il lui a demandé si oui ou non, après le saccage du centre-ville de Nantes ce samedi, le gouvernement allait mettre fin à l’impunité dont jouissent les groupes armés d’extrême gauche.

Se défaussant sur Manuel VALLS, dont la sévérité sélective à été rappelé par Yannick MOREAU, le ministre de l’Intérieur n’a pas répondu à la question, pourtant simple, de la dissolution de ces groupes.

Yannick MOREAU demande donc au Premier ministre si oui ou non le Gouvernement va prononcer la dissolution des groupes violents d’extrême-gauche

 

25 février 2014

Aéroports régionaux : la mobilisation.............

Aéroports régionaux : la mobilisation lancée par Franck Proust sauve les aéroports régionaux de la fermeture

« C'est gagné! La mobilisation massive que j'ai initiée au Parlement depuis des mois a porté ses fruits! Nous avons été entendus et avons réussi à modifier le projet initial de la Commission européenne, qui risquait de mettre en péril l'existence de nombreux aéroports, partout en Europe. Pour le Languedoc-Roussillon, on parle de 4 aéroports (Nîmes, Carcassonne, Perpignan et Béziers), et 7 pour le reste de l'euro-circonscription (Agen, Bergerac, Brive, Castres, Rodez, Tarbes, Pau). » a déclaré Franck Proust (UMP, PPE, F), suite à la publication, par la Commission européenne ce 20 février, de ses nouvelles lignes directrices pour encadrer les aides d'État aux aéroports régionaux.

« La plus grande victoire que j'ai obtenue, c'est sans conteste de faire bénéficier un plus grand nombre d'aéroports régionaux d'un régime particulier leur permettant de continuer à recevoir des aides pour compenser leurs pertes d'exploitation. Concrètement, nous avons réussi à faire passer le seuil à 700 000 passagers par an, contre 200 000 passagers dans le projet initial ! Ce qui veut dire que nous avons mis à l'abri 92% des aéroports de moins d'un million de passagers, et la totalité des aéroports régionaux français de cette catégorie » a expliqué Franck Proust. (Retrouvez la synthèse technique de la réforme en suivant).

« Les aéroports régionaux ne sont pas des entreprises comme les autres. Dans sa proposition initiale, la Commission européenne occultait complètement la mission de service public et d'intérêt général en termes d'aménagement du territoire confiée à ces aéroports. Mais surtout, elle privilégiait le seul critère d'équilibre comptable (alors même qu'ils ne sont pas rentables dans leur très grande majorité), sans prendre en compte l'ensemble de l'économie induite, et toutes les externalités positives (retombées économiques, créations d'entreprises et d'emplois, taxes locales, connectivité, désenclavement géographique). Il faut rappeler qu'en 2011, les aéroports régionaux européens ont apporté plus de 16 milliards d'euros au PIB et représentaient plus de 250 000 emplois! Et en Languedoc-Roussillon, ce sont environ 7500 emplois et plus de 400 millions d'euros par an ! » a indiqué Franck Proust.

« Au-delà, la Commission européenne se trompait de cible : ce n'est pas en s'attaquant aux aéroports régionaux que nous règlerons le problème du dumping fiscal et social exercé par les compagnies aériennes à bas coût » a-t-il ajouté.

« La démarche, au demeurant légitime, de la Commission européenne, visait à assainir l'utilisation des deniers publics. Mais à force de vouloir faire le ménage, elle risquait tout simplement d'obliger bon nombre d'aéroports de moins d'un million de passagers, qui représentent la moitié des 450 aéroports européens, à mettre la clé sous la porte. De même, la Commission n'a pas à s'immiscer dans les choix et les opportunités d'une collectivité pour aider sa plateforme régionale. Elle doit agir en respectant pleinement le principe de subsidiarité et la souveraineté des collectivités locales. »

« Grâce à notre mobilisation, à la lettre ouverte que j'ai écrite à José Manuel Barroso (et que 52 eurodéputés ont cosignée), ainsi qu'à mes entretiens privés, tant avec le Commissaire Almunia qu'avec José Manuel Barroso, nous avons réussi à faire entendre raison à la Commission. Cela montre bien qu'il n'y a que les combats qu'on ne mène pas que l'on est sûr de perdre ! », s'est-il félicité.

« Politiquement, il était inimaginable, illégitime même, que les uniques représentants directs des peuples européens ne puissent donner leur avis ! Je suis donc heureux que notre mobilisation ait été couronnée de succès. Je resterai mobilisé, comme je l'ai été depuis le début. Je tiens d'ailleurs à saluer l'action de mon ami Michel Barnier, dont la détermination a été sans faille sur ce dossier. », a-t-il conclu.

Franck Proust
Député Européen

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24 février 2014

Rythmes scolaires : les masques tombent..................

 

Rythmes scolaires : les masques tombent et les familles vont payer

Les masques sont tombés. A Lyon, Gérard Collomb vient d'acter le fiasco financier de la réforme des rythmes scolaires en annonçant qu'il allait faire payer les familles.
En décidant de créer un forfait qui coûtera aux parents jusqu'à 20 euros par an et par enfant pour financer la réforme des rythmes scolaires, Gérard Collomb confirme les difficultés d'organisation et le coût caché d'une réforme bâclée et non financée.

Dans d'autres villes de France, la facture est aussi présentée aux familles comme à Mandeure dans le Doubs, où les parents devront débourser 20 euros par mois.
Depuis des mois, avec des milliers de maires, de parents, de professionnels de l'Education de droite comme de gauche, je tire le signal d'alarme sur la réforme des rythmes scolaires dont le coût retombera inévitablement sur les communes et les familles.

Aujourd'hui, la vérité éclate au grand jour, voici donc la « taxe Peillon » qui se met progressivement en place, comme je l'avais annoncé, dans toutes les communes de France.
Cet énième impôt est insupportable alors que la pression fiscale est devenue insoutenable pour les Français, notamment les familles nombreuses qui sont ponctionnées comme jamais.
Il est insupportable car il vise à payer une réforme dont le contenu pédagogique est très incertain et loin d'être prioritaire. Nous perdons de l'énergie et des moyens sur la question des rythmes scolaires alors que la lutte contre l'illettrisme devrait être le premier chantier de l'école primaire.

Le moyen le plus sûr d'obtenir l'annulation de la taxe Peillon est de sanctionner sévèrement la gauche lors des prochaines élections municipales.
J'appelle tous les Français qui ne veulent pas payer les frais de cette réforme à désavouer les candidats de la gauche et à voter dès le premier tour pour les candidats UMP. Une victoire de l'UMP aux élections municipales obligera François Hollande à retirer cette réforme.

Jean-François Copé
Président de l'UMP

23 février 2014

Ecologie : le « Vert » est dans le fruit…

Ecologie : le « Vert » est dans le fruit… et s’y trouve bien !

par Christian Balboa

Le « Vert » est dans le fruit !

Les écologistes ont la digestion difficile.

Faut dire qu’en ce moment, ils avalent n’importe quoi ! Des couleuvres et aussi des boas constrictors !

Je me demande si on a déjà vu un gouvernement au bilan écologique aussi pauvre que celui de Jean-Marc Ayrault !

On murmure que le gouvernement s’apprêterait à lancer l’implantation de nouvelles centrales nucléaires en France. Qui plus est des « EPR », la bête noire des écologistes.

Après le retrait, sous la contrainte, de la « loi Famille », les écologistes sont énervés. C’est la raison pour laquelle j’ai été interpellé par le titre d’un article du Point : « Les écologistes pas prêts à quitter le gouvernement« .

Le Point rapportait une interview de Jean-Vincent Placé, chef de file des sénateurs EELV et là, je découvre la déclaration hallucinante de ce responsable :

« dans ce temps extrêmement complexe, y compris d’élections, quitter le gouvernement n’aurait strictement aucun sens ».

Aucun sens ?

Mais où est passée la mission salvatrice des écologistes ? Sauver la planète n’est donc plus une priorité ? Le réchauffement climatique laisserait-il désormais froid les écolos ? Tout fout le camp !

Le même Vincent Placé déclare plus loin :

« On est dans une position d’un groupe minoritaire dans un exécutif, c’est très difficile. Dans la séquence qui vient, municipales, européennes, sortir, ça n’a tout simplement aucun sens », a-t-il répété. « Ce serait perçu comme très, très politicien, voire politicard, par les Françaises et les Français. »

Non, monsieur l’ex-sauveur de la planète, ce qui est « politicard », c’est de rester dans un gouvernement qui n’applique pas les mesures qui font l’essence de l’écologie.

Vous restez au gouvernement, et vous soutenez le gouvernement au parlement, tout simplement parce que « vous allez à la soupe » ! A la soupe des élections municipales où, grâce à vos alliances « politicardes » avec le parti socialiste, vous espérez ne pas perdre trop de villes.

Madame Cécile Duflot n’a pourtant plus rien à faire au gouvernement.

Elle a terminé son travail de ministre du logement en ayant bloqué la construction, en ayant découragé la majorité des propriétaires pour flatter des locataires et en ayant désespéré les Français qui cherchent un logement.

Quant à l’autre ministre, Pascal Canfin, son nom ne restera qu’en tant que le ministre qui a refusé de monter dans un avion dans lequel un clandestin était renvoyé dans son pays. Retour pourtant décidé par la justice de son pays !

Mais ces deux ministres médiocres s’accrochent à leurs maroquins comme des forcenés… comme  de vulgaires politicards …

 

22 février 2014

« Loi Florange »,

« Loi Florange », le nouveau visage de l'imposture socialiste

Rejeté par le Sénat, de nouveau examiné ce lundi par les députés et dans les jours suivants par les sénateurs, le Parlement se prononcera définitivement le 24 février, par un vote de l'Assemblée nationale, sur le projet de loi visant à reconquérir l'économie réelle dite « loi Florange ».

C'était l'engagement 35 du candidat François Hollande, qui, en pleine campagne présidentielle, avait promis à cor et à cri devant les salariés d'Arcelor Mittal, que « lorsqu'une grande firme ne veut plus d'une unité de production et ne veut pas non plus la céder, elle aurait l'obligation de la vendre. » Il leur promettait ainsi qu'une entreprise serait obligée de vendre un site rentable, qu'elle veut céder.

Et que reste-t-il aujourd'hui de cette promesse de campagne pour assurer la sauvegarde des sites rentables ? D'approximations en approximations, de revirements en reniements, le texte-miracle aux mérites tant vantés et tant attendus obligera seulement les entreprises de plus de 1000 salariés à rechercher un repreneur pendant 3 mois, sous peine de pénalités. Un groupe ne jouant pas le jeu de la recherche d'un repreneur pourrait être condamné à verser une pénalité pouvant atteindre 20 Smic mensuels par emploi supprimé, mais pas plus de 2% de son chiffre d'affaires.

Avec ce texte, la majorité socialiste voulait nous faire croire que l'Etat avait le pouvoir de stopper les plans sociaux. La réalité, on le voit, est aux antipodes des promesses bien vite enterrées sur l'autel de l'amateurisme et de la démagogie ! Car le nouveau projet, qui évacue la possibilité d'une nationalisation et fait du juge de commerce le pivot d'une procédure contradictoire, aura en fait bien peu d'impacts sur les situations comme celles de Florange.

Alors ce sera au mieux une nouvelle loi d'affichage dans le but de masquer le bilan catastrophique du gouvernement en matière industrielle, qui ne saurait remplacer une véritable politique économique structurante et compétitive...

Mais au pire, un énième écran de fumée, visant cette fois à dissimuler un changement majeur, introduit en catimini, et pourtant lourd de conséquences : c'est un juge qui devient désormais l'interlocuteur principal des salariés et de l'entreprise. Autrement dit, François Hollande fait basculer notre droit et notre pratique en ce domaine avec un projet de loi « américanisant » les conflits sociaux ! Il introduit une rupture sans précédent avec la tradition qui est celle de l'Europe continentale, où, représentant de la nation avec la légitimité que lui confère l'élection, le pouvoir politique s'entremettait dans des conflits sociaux.

Voulant mettre le politique hors du jeu social, il faudra que François Hollande ait le courage d'admettre qu'il donne raison à la conception britannique de l'Union européenne, et qu'il détricote lui-même la notion « d'Europe sociale » qui prévalait jusqu'alors.

La réalité, c'est que l'adage selon lequel « les promesses n'engagent que ceux qui les reçoivent » est devenu l'unique morale socialiste. La réalité, c'est que les renoncements et les revirements présidentiels sont légion. Il faudra que Monsieur Martin, syndicaliste de Florange et tête de liste du PS aux élections européennes explique pour de bon ces impostures et le sens qu'il donne à cette nouvelle instrumentalisation !

Valérie Debord
Déléguée générale adjointe de l'UMP

 

21 février 2014

Le gouvernement de tous les excès......

Le gouvernement de tous les excès

Aurélie Filippetti avec son sens de la mesure bien connu, confiait récemment dans le journal Le Parisien« le Medef veut tuer la culture ». En réclamant l’abrogation du régime des intermittents du spectacle. Rien que cela. On comprend que la ministre de la Culture n’ait guère envie d’être copieusement sifflée à la cérémonie des César par les grandes consciences du monde artistique, mais faire du président du Medef Pierre Gattaz, un nouveau taliban est peut-être excessif. C’est même excessivement excessif.

La Cour des Comptes a dit également tout le mal qu’elle pensait d’un ruineux système d’assistanat spécifiquement français appliqué à une catégorie qui devrait, par essence et tradition, accepter plus qu’une autre, le risque et l’incertitude. Et Migaud Didier n’est pas Khan Gengis.

A croire que l’excès dans l’invective n’épargne plus aucune personnalité socialiste. La semaine dernière, c’était la douce ministre des Droits des femmes, Najat Vallaud-Belkacem qui, avec son gentil sourire, accusait le président de l’UMP, Jean-François Copé de vouloir pratiquer des autodafés de livres pro-théorie du genre pour enfants dans la cour des écoles.

Je n’ose dire ce que je pense du privilège des agents SNCF, également et enfin dénoncé, de pouvoir faire voyager gratis leur belle-mère et la cousine de leur arrière-grand-père. Le ministre des transports serait capable de m’accuser de vouloir faire passer les responsables de la CGT et de Sud rail sous une locomotive.

Peut-être faudrait-il créer un commissariat à l’appellation politique contrôlée ou un Haut Conseil de la nomenclature officiellement répertoriée. On connaissait les antiracistes autoproclamés. M. Dieudonné M’Bala M’Bala en faisait partie, sans que nul n’ose contester ce titre auréolé, lorsqu’il ferraillait à Dreux contre Jean-Marie Le Pen. On s’aperçoit aujourd’hui que l’appellation était peut-être incontrôlée.

La mode est aujourd’hui à l’étiquette « antifasciste » ou au trisyllabique plus branché « an-ti-fa ».

C’est ainsi que les nervis d’extrême gauche qui ont fait le coup de poing, fatal à Clément Méric, contre les nervis d’extrême droite, ont été médiatiquement baptisés ainsi sans contrôle canon tatillon. La suite a prouvé que les choses étaient plus complexes.

Ces derniers jours et à nouveau, à Rennes, les militants armés de manches de pioche ou à Paris, les démocrates épris de liberté qui s’en sont pris à des réunions légales du Front National, ont été, sans barguigner, qualifiés « d’antifascistes ».Et je n’ai pas lu une seule ligne dans la presse qui érige en doute une appellation qui risque d’être dévaluée par un mésusage assez nauséabond.

À ce degré de bassesse, je me dispenserai moi-même d’un couplet supplémentaire pour rappeler que je suis un adversaire politique résolu d’un mouvement dont j’entends protéger résolument la liberté de réunion.

Si je ne le dis pas, alors qui va le dire ?

Pas une ligne non plus (hormis sous la plume de votre serviteur dans Actualité Juive de cette semaine) sur le sort des opposants iraniens. En 2013, l’Iran a exécuté 625 personnes dont 29 femmes et des prisonniers politiques. Plus de 250 de ces pendaisons ont été commises sous la présidence du « modéré » Hassan Rohani. Le dernier de ces assassinats concerne le poète Hachem Shabaani, commis le 25 janvier. L’un des chefs d’accusation du tribunal révolutionnaire relevait de: « la propagation de la guerre contre D.ieu ».

Quitte à morigéner M. Gattaz, notre ministre de la culture, en hommage à ce poète assassiné, aurait pu peut-être réserver ses flèches les plus acérées au voyage indécent de l’organisation patronale à Téhéran il y a 15 jours. Le régime des mollahs exécute sans intermittence ni spectacle.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Gilles-William Goldnadel. Publié avec l’aimable autorisation de Valeurs actuelles

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20 février 2014

Parti Socialiste cherche électeurs

Parti Socialiste cherche électeurs… désespérément !…

par Guy Geoffroy

Passionnante, hier soir, la chronique d’Alain Duhamel sur RTL, au cours de laquelle le célèbre observateur de la vie publique a décrit par le menu la panique qui semble saisir le gouvernement et sa majorité, à l’approche des municipales, au point qu’elle les amène à déclencher un vaste plan «anti abstention» avec les moyens de l’Etat.

Car l’ambiance générale et le contexte qu’elle traduit sont de moins en moins de bon augure pour la gauche, à désormais 4 semaines et demi du premier tour des municipales.

Et toutes les remontées sont identiques : le « peuple de gauche » n’est pas content.

Certes, il y a les « petits » 20 % qui persistent, en moyenne des sondages, à soutenir le Président. Encore fera-t-on remarquer qu’il n’y a en leur sein que 2%, ce qui est un peu maigre, qui approuvent totalement Hollande…

Mais il n’y a pas de quoi faire une majorité avec ça. D’autant plus qu’au sein de la gauche du PS, et encore plus à gauche, au PC et au Front de gauche, il y en aurait près de 75% à être déçus…et à avoir envie de le dire.

C’est donc « sauve qui peut » à tous les étages !

Et, comme le dit si clairement Alain Duhamel, le danger est très important pour la majorité, car, pour ces municipales, elle ne peut pas faire le pari d’un Front National tellement présent et tellement puissant qu’il provoquerait en nombre ces miraculeuses « triangulaires » qui ont si souvent permis au PS de s’en sortir « pas trop mal » du fait de la dispersion des voix.

Certes, le FN peut raisonnablement espérer augmenter substantiellement le nombre de ses élus municipaux, mais le nombre de listes effectivement présentées sera trop faible pour que l’impact soit trop préjudiciable à la droite « classique ».

On mesurera l’étendue du désastre aux européennes de mai et, l’an prochain, aux départementales et régionales…

Le scénario catastrophe n’est donc pas loin pour le PS, qui sait bien qu’aucun évènement ne viendra d’ici le 23 mars inverser la courbe (c’est décidément une manie… !) et que le poids de l’abstention des déçus de la gauche, qui ne se mesure jamais à son exact niveau dans les sondages quelle qu’en soit la principale cible, sera bien plus terrible que les projections d’aujourd’hui ne le laisseraient supposer.

Il faut donc combattre ce fléau, en se drapant bien évidemment dans la virginale posture républicaine qu’il revient à tout gouvernement d’arborer pour inviter tous les électeurs à ne pas renoncer à leurs droits démocratiques chèrement conquis, que d’autres aimeraient avoir etc.

Sauf que personne n’est vraiment dupe, surtout que le risque d’abstention se complique du fait des multiples changements apportés cette année tant au mode de scrutin, pour les communes de 1000 à 3500 habitants, qu’au mode de désignation des élus intercommunaux, pour toutes les collectivités.

Ce qui promet une belle pagaille et de belles méprises, avec à la clé un nombre probablement important de bulletins qui devront être annulés.

Cela risque donc d’être l’échec sur toute la ligne pour ce gouvernement moribond, incapable de répondre aux questions des députés de l’opposition à l’Assemblée Nationale autrement que par la « sérénade du quinquennat précédent », quand ce ne sont pas les insultes, les mensonges et les coups de menton ridicules du 1er Ministre et de son Ministre du budget qui progresse quotidiennement dans une attitude outrancière et caricaturale qu’il nous avait cachée lorsqu’il était « l’estimable » député-maire de Cherbourg ( Tiens ! un cumulard !!!).

Les semaines qui s’approchent vont régulièrement apporter leur lot de trompe-l’œil, de leurres, et d’écrans de fumée en tous genres, pour tenter de faire oublier la débâcle aux électeurs de gauche trahis par celui qu’ils ont porté à l’Elysée et auquel ils veulent envoyer le message de leur mécontentement.

En essayant de trouver la parade face à l’abstention, mon petit doigt me dit que le gouvernement va fabriquer pas mal de bulletins blancs et nuls qui sonneront comme autant de désaveux à l’égard d’un pouvoir à l’agonie.

Pourvu que la défaite soit cinglante, pour que Hollande n’ait pas d’autre choix que ceux de changer de gouvernement et de….. politique !

Peut-être faudrait-il rédiger pour lui un ouvrage de vulgarisation que j’appellerais bien :
« L’exercice des responsabilités pour les NULS »…..

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Union pour l'Arleusis
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